Parcours universitaire

Parcours universitaire

  • Semestre universitaire à l’Université de Montréal (1996) : Ce fut pour moi une opportunité considérable que de partir ainsi durant un semestre. J’y ai découvert une autre manière d’envisager la sociologie, la place du sociologue, la complémentarité des approches. Un semestre qui constitue une étape importante de mon parcours.

  • Stage en développement local en Andalousie (1998) : Durant un mois et demi, j’ai eu l’opportunité de vivre dans une petite ville andalouse, Palma del Rio. Cette expérience en immersion a confirmé mon attrait pour l’approche ethnographique et m’a complètement libéré vis-à-vis de la langue espagnole.

  • Mémoire de recherche sur le mouvement reggae et la philosophie rastafari en France (1999) : Souhaitant m’orienter davantage vers une approche anthropologie, j’ai réalisé ce mémoire en mettant en pratique l’observation participante, en allant à la rencontre de groupes musicaux se revendiquant à la fois du reggae mais aussi de la philosophie rasta. Une expérience enrichissante.

  • Participation à un diagnostic préalable au contrat de ville, quartier de la Roseraie, Angers (1999) : Ma participation à ce diagnostic répondait pour moi à un souci de professionnalisation.  Ce travail au sein d’un cabinet d’études fut salutaire. Parallèlement à ce stage, j’étais aussi habitant du quartier. Cette situation me permit de mettre à jour mon intérêt pour la démarche ethnographique.

  • Mémoire de recherche sur la jeunesse du quartier de la Roseraie, Angers (2000/2002) :  Dans le prolongement de l’expérience citée précédemment, j’ai souhaité poursuivre sur la thématique jeunesse. J’ai ainsi arpenté le quartier de long en large, participant ici et là à des réunions et à de multiples rencontres, côtoyant des jeunes d’horizons divers. Ce travail se conjugua également à une pratique d’animateur au sein du quartier.

  • DESS Sociologie appliquée au développement local (2002) : Après plusieurs années passées au sein du quartier de la Roseraie, après une parenthèse en anthropologie, j’obtiens ce diplôme, aujourd’hui équivalent d’un Master 2. La mention “développement local” permet d’ouvrir le regard et de ne pas être hyper spécialisé dans un domaine. Un aspect que je revendique aujourd’hui.